Touareg, Algérie
Touareg, Algérie
Course à cheval pendant le Naadam, Mongolie
Écoliers, Burkina Faso
Cambodge
Jeunes filles socotri, Yémen
Japon
Tir à la corde lors d’un pique-nique familial, Kirghizistan
Pérou
La partie de loto, Cambodge
Fillette, Népal
Oulan-Bator, Mongolie
Tissage, Pérou
Gamins, Burkina Faso
Boutique ambulante, Laos
Coup de fil dans les dunes de sables de Zahek, Yémen
Filage de la laine, Pérou
Dans la Yourte – Kirghizistan
Moudre le Café – Ethiopie
Cimetière de trains, Bolivie, Ville de Uyuni
Tupés, Amazonie, Brésil
Chine
Laos
Lutteurs se détendant durant le Naadam, Mongolie
Le festival du Naadam (En Mongolien: Наадам, et en Mongolian classique: ᠨᠠᠭᠠᠳᠤᠮ) est un festival traditionnel célébré en Mongolie, Mongolie Intérieure et en Touva. Pendant le festival du Naadam, trois compétitions sont organisées: la lutte Mongole, la course de cheval, et le tir à l’arc. Ces trois compétitions sont organisées à travers tout le pays pendant le milieu de l’été, mais les sportifs mongols les plus célèbres se rencontrent pendant la compétition qui se tient à Oulan-Bator, la capitale du pays. Les femmes ont commencé à participer aux compétitions de tir à l’arc et de course de cheval, mais il n’y a pas encore de compétition féminine de lutte mongole.
« Inca cachi », le « Sel des Incas », salines de Maras, Pérou
Ce qui rend le sel de Maras si particulier c’est que les bassins dans lesquels il est collecté se situe en montagne, à plus de 3300 mètres d’altitude et à une distance de plus de 400 km de la mer.
La présence de sel dans ces bassins est du à l’ingéniosité des peuples pré-incas qui vivaient dans la région.
En effet, il y a plus de 2000 ans, ces derniers ont détournés un ruisseau naturellement saturé en chlorure de sodium, et l’ont amené aux moyens de rigoles et de petits canaux à venir se déverser dans des bassins suspendus en terrasses sur les flancs de la montagne Qaqawinay, à 50km environ de Cuzco.
Une fois l’eau piégée dans l’un des 3600 bassins, elle s’évapore laissant le sel prêt à être récolté. Aujourd’hui, bien que le sel n’ai plus la même valeur qu’à l’époque des Incas, durant laquelle il constituait un véritable « Or Blanc », quelques 700 à 800 familles quechuas organisées en coopératives continuent à vivre de sa récolte.
L’attente de l’eau
Holi (Fête des couleurs), Inde, Rajasthan
Écosse
Cap Vert
Jeune Pêcheur, Laos
Kirghizistan